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Quand tu aimes il faut partir
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Amedeo Modigliani peint en 1919 sa jeune compagne enceinte, Jeanne Hébuterne portant sur ses genoux leur premier enfant. Ils se sont rencontrés en 1916, elle a 19 ans, lui 34. Contre l’avis de sa famille, elle le suit, bien décidée à vivre pleinement son amour. Elle se suicidera le lendemain de la mort du peintre, emportant avec elle l’enfant à naître. En s’arrêtant sur cette œuvre testamentaire, Colette Nys-Mazure saisit l’occasion de rentrer dans la vie du peintre. Elle nous livre un texte empreint d’humanité et de poésie, qui tente de comprendre les paradoxes de l’amour, maternel ou conjugal, et ses conséquences parfois tragiques.
- ISBN9782918698876
- Nombre de pages69
- FormatBroché 13 x 21 cm
- Diffuseur / distributeurBLDD (Les Belles Lettres)
- Date de publication04/01/2016
À propos de l'auteur

Nys-Mazure Colette
Colette Nys-Mazure, née le 14 mai 1939 à Wavre (Belgique), est une écrivaine belge de langue française. Suite au décès de ses parents, elle part habiter chez des membres de sa famille dans le Tournaisis, une région qu’elle affectionne beaucoup et qu’elle ne quittera plus. Titulaire d’une maîtrise de lettres à l’Université catholique de Louvain où elle a effectué ses études de 1957 à 1961, elle est devenue professeur de lettres de 1961 à 1999. Elle a également été assistante à l’Université catholique de Louvain de 1974 à 1980 et conférencière à partir de 1989 au Centre Vauban de la Fédération universitaire et polytechnique de Lille. Son premier recueil, La vie à foison, est publié en 1975 par le Centre Froissart de recherches poétiques. Si la poésie reste son territoire de prédilection, elle a également écrit des essais sur Suzanne Lilar et Tahar Ben Jelloun, des nouvelles et des pièces de théâtre qui connaissent un grand succès.
Colette Nys-Mazure fait partie du groupe Unimuse avec, entre autres, Paul André, Jacky Legge, Françoise Lison-Leroy, Marie-Clotilde Roose et Michel Voiturier. Créée en 1952, cette association d’écrivains du Tournaisis et des environs peut être considérée comme la « Maison de la Poésie » du Hainaut occidental, même si elle ne possède pas de local fixe.
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